J’ai consacré environ 2 semaines à la visite des sakagura, et 1 semaine aux vacances en famille. C’était trop court ! Mais j’ai quand même pu voir quelques lieux qui d’après moi méritent d’être visités si vous allez au Japon.

 

Les sauts de puce des 1ers jours

J’ai commencé mon séjour par un rapide passage à Kanagawa. Nous avons passé une nuit dans un ryokan avec onsen. Vous pouvez compter en moyenne 150€ par personne pour une nuit avec demi-pension. Le cadre était vraiment agréable ! Puis je me suis ensuite rendue à Odawara (même préfecture), pour déguster des sushi dans un de mes restaurants favoris.
Journée suivante à Kyoto ! La ville était en pleine préparation du festival de Gion, il y avait donc des chôshin (lanternes en papier) installées partout dans la ville. J’ai également fait un tour au Sanzen-in, un temple bien connu pour son très beau jardin de mousses.

Nara

Après le tour des sakagura, direction Nara. La ville est considérée comme ayant été la première capitale fixe du pays, au 8e siècle.
On y trouve un nombre impressionnant de temples bouddhiques, certains faisant partie des plus célèbres du Japon. C’est le cas par exemple du Todai-ji et son daibutsu, une statue de pierre de 15m de haut représentant le bouddha historique.
Nara est aussi bien connue pour ses cerfs se baladant en liberté dans le grand parc de la ville. Vous pouvez y acheter des gâteaux spéciaux pour les nourrir durant votre promenade !

Hiroshima

Puis après un détour à Kobe, je suis allée à Hiroshima où j’ai passé quelques jours. Premier objectif, le Shimanami kaido ! Ce parcours cyclable de 70km relie Honshu à Shikoku. Ma fille et moi en avons parcouru la moitié, et la vue en valait vraiment la peine.

Enfin, après une étape dans la ville d’Onomichi, je me suis rendue à Usagijima ou l’île aux lapins. De son vrai nom Ôkunojima, l’île est aujourd’hui un site touristique prisé aussi bien pour son nombre de lapins qui s’y baladent en liberté que pour son histoire. Elle a en effet, entre-autres, abrité un programme de développement d’armes chimiques durant la seconde guerre mondiale. Un contraste étonnant entre un passé brut et ces petites boules de poils qui en colonisent aujourd’hui les restes.